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13 octobre 2014

EVO MORALES REELU PRESIDENT DE LA BOLIVIE AU 1er TOUR PAR LA VOIE DES URNES DE MANIERE DEMOCRATIQUE,CLAIRE ET INDISCUTABLE

victoria de evo morales

EVO MORALES ELU POUR SON TROISIEME MANDAT AVEC 60 % DES VOTES ET DONC HAUT LA MAIN !. BRAVO EVO 

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Chut ! Un président nationaliste et socialiste a été réélu ..
INTERNATIONAL
 

C’est dès le premier tour, que le président de gauche a été réélu, avec 61% des voix.

Le candidat de l’opposition de droite n’en a recueilli que quelque 21%, lors d’élections qui se sont déroulées dans une parfaite régularité (il est vrai que le vote est obligatoire dans le pays). Comment expliquer cet exploit ? Par la croissance du pays, 5,2%, la plus élevée du continent, et dont les effets se font sentir dans la population : le gaz arrive progressivement dans les logements des plus pauvres, des routes, des hôpitaux, des stades, des usines, ne cessent de sortir de terre. Contrairement à ce que prédisaient certains, la nationalisation de l’énergie par rachat d’actions aux industriels, voici deux ans, n’a pas conduit le pays au bord du gouffre, au contraire. Le président a pu aussi compter sur le soutien des classes moyennes, qui se sont massivement portées sur son nom. Et même le patronat lui est reconnaissant de la stabilité du pays.

Une telle nouvelle, un matin, devrait logiquement occuper une bonne partie des journaux d’information, mais non. Dans le meilleur des cas, la réélection d’Evo Morales en Bolivie est traitée en brève dans les journaux du matin.

Du côté de la presse libérale, ce silence se comprend.

Voici deux ans, Le Figaro soulignait le risque des nationalisations : l’effondrement de la production pétrolière. Celle-ci ne s’étant apparemment pas produite, Le Figaro reconnait, sportivement quoique brièvement, le succès de la politique Morales. Quant au Monde, sa correspondante à Lima, même sielle a constaté la prospérité économique bolivienne, l’attribue à…la croissance chinoise, qui a dopé ses exportations de minerais et d’hydrocarbures. L’explication par les nationalisations est simplement suggérée en seconde place, au conditionnel, et prudemment placée dans la bouche de Morales lui-même.

Source et rédaction : ASI

Lien article : http://news360x.fr/chut-president-nationaliste-socialiste-ete-reelu/         

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